La tribune de Grégoire Cabri-Wiltzer (MagRH – 01/09/2021)

Grégoire Cabri-Wiltzer, Président de NIM Europe a été mis à l’honneur dans le MagRH du mois de septembre. Cette tribune a été l’occasion de revenir sur les appréhensions du métier de DRH, ses atouts et ses difficultés.

 

Les grands changements de l’entreprise

Le monde de l’entreprise est en perpétuelle évolution et le métier de DRH est au cœur de la transformation. Chez NIM Europe, ces changements se sont ressentis au travers des missions qui nous ont été confiées : la mise en œuvre d’un nouveau projet, d’une transformation, a représenté plus de 60% de nos missions en 2019/2020.

 

« Donc évaluer la fonction de DRH aujourd’hui ne peut se faire qu’en prenant en compte l’évolution de leur fonction, liée à celle de l’évolution de l’économie en général. Les nouvelles technologies, le poids des réseaux sociaux, la complexification des compétences, les différences culturelles dans l’entreprise, la prise en compte de la diversité et de l’inclusion et maintenant les conséquences de la pandémie, avec la pratique généralisée du télétravail, ont transformé complètement le quotidien des RH. »

 

Les effets de la crise COVID et les attentes des nouvelles générations

La crise sanitaire a été un déclencheur majeur dans l’accélération du changement en entreprise et les modes de travail ces derniers mois. Le management à distance, en télétravail, est devenu moins contrôlant, et plus ouvert aux demandes et aux difficultés de l’individu. La DRH doit s’adapter et avoir une dimension plus psychologique que statutaire et repenser son organisation.

Les jeunes générations qui arrivent dans les entreprises ont également contraint l’accélération du changement de management : elles n’ont plus les mêmes attentes, elles sont plus volatiles, en quête de sens, rétives à une hiérarchie trop rigide et à l’autorité. Les fidéliser nécessite donc une autre communication et d’autres pratiques RH.

 

Chez NIM Europe, le Management de Transition, par exemple, offre ces perspectives à des managers qui optent pour ce qu’ils considèrent comme une plus grande liberté de choisir ses périodes de travail, ses projets et ses employeurs. Les DRH qui nous font confiance l’ont compris et traitent nos managers avec ce nouveau modèle en tête.
Mais c’est la rapidité qui prime dans notre métier, la nécessité de répondre très vite aux demandes des opérationnels, dont les stratégies évoluent rapidement. Le «filtre » du DRH pourrait complexifier les relations. En fait ce n’est pas le cas car la capacité à travailler maintenant en mode projet qu’ont les DRH, a comblé ce fossé.

 

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